Pésroq




Un royaume à la force brute


Réputé pour son exploitation très rentable de la chaîne de montagnes qui le borde, ce royaume fermé et solennel excelle dans les arts de la mine, de la forge et du combat.




Hymne: "L'écho Pésroquien"
Devise: "Ordre et Discipline"





Résumé


Situées à l’est d’Andellar, ces terres qui bordent l’énorme chaîne de montagnes qui traverse le continent abritent majoritairement des paysages agréables. De grandes plaines parsemées de forêts et de rivières recouvrent le pays.

Ce peuple très sobre, composé en grande partie de combattants, forgerons et mineurs, base sa richesse sur l’exploitation des montagnes à son est. Notamment sur l’exportation dans tout le continent des armes et armures qu’il produit.

À l’image de leur devise, les pésroquiens apportent beaucoup d’importance à la discipline et au respect de l’ordre. Le royaume possède une grande armée, une milice efficace ainsi que des villes très bien défendues. Ses habitants sont néanmoins connus pour ne pas apprécier les étrangers.

Depuis des siècles, Pésroq est en conflit ancestral avec son voisin, Nédour. Les habitants des deux royaumes ne peuvent se supporter et les deux nations se sont fait la guerre à de multiples reprises sans jamais qu’il n’y ait de réel vainqueur.







L'Histoire de Pésroq


Pésroq est un royaume militaire particulièrement puissant situé à l’est d’Andeller où les champs et les montagnes contenant des mines sont monnaie courante. C’est un royaume particulièrement connu pour la qualité de ses armures, armes et outils faits d’un acier très résistant et qui font la richesse de nombreux forgerons.
C’est une nation stable avec une noblesse puissante où l’ordre et la discipline sont maîtres, notamment depuis que Pésroq est entré en conflit avec son voisin du sud, Nédour.

Il faut remonter vers les années 4500 pour retrouver l’origine de ce conflit dynastique qui perdure encore aujourd'hui.
En 4512, le Roi Henri II de Nédour, dit “le vénérable”, mourut père de deux fils et d’une fille. Une succession de tragédies royales menèrent très vite à une crise dynastique. Le premier fils, le roi Henri III mourut sans descendance et fut très vite suivi par son frère, Baptiste IV qui perdit la vie lors d’un terrible incendie au sein d’une église. Le choix se porta donc sur le dernier enfant, la princesse Catherine, mais cette dernière, était mariée au prince Édouard de Pésroq, héritier du trône, pour apaiser les tensions entre les deux royaumes. Cela créa donc un conflit de dynastie.

Edouard, roi à la fois puissant et intelligent mais aussi tyrannique se proclama roi de Pésroq et de Nédour, entraînant le courroux des ducs de Nédour qui demandèrent au Parechann une annulation du mariage entre les deux héritiers, proposant même d’importantes sommes d’argent.
Le Pape Clément VI refusa toutes les propositions. Les hauts-nobles de Nédour, contrariés par la décision de ce dernier, se réunirent pour élire un autre roi, évinçant la reine Catherine de la succession. Les discussions houleuses permirent à un cousin de Catherine de prendre le pouvoir sous le nom de Philippe II. Face à cette décision, le royaume de Pésroq déclara la guerre à Nédour pour déposer Philippe II.

La guerre se termina sans chute du roi. Néanmoins, le duché Pied-de-Roche, anciennement nédourien, passa chez Pésroq.
Depuis cette première guerre, les deux royaumes restèrent en conflit constant, alternant entre périodes de guerre et de paix. Tout adulte mûr a déjà connu une guerre entre Nédour et Pésroq, si ce n’est plus, les durées de ces dernières pouvant varier.

Actuellement, une paix dure depuis vingt ans entre les deux royaumes, même s’il est monnaie-courante que des petits seigneurs de Nédour ou de Pésroq tentent des modestes incursions chez le voisin, dans des buts de pillage. Le peuple de Pésroq, uni dans les victoires et les défaites, attend avec impatience la fin de ce conflit et la victoire de leur nation.




L'Impact de la Lune Pourpre


Si la période de la Lune Pourpre fut évidemment dure pour Pésroq, la situation du royaume ne fut pas la plus catastrophique du monde. Ce royaume très fermé et organisé fut l'un de ceux qui géra le mieux la crise.

Même si beaucoup perdirent la vie à cause des créatures démoniaques, la structure du royaume lui permit de relativement bien s'en sortir. C'est notamment grâce au fait que la majorité des pésroquiens savent se battre qu'ils ont pu s'en tirer ainsi. La défense et protection des villes exemplaire ainsi que le déploiement efficace de l'armée participèrent aussi à aider le royaume à survivre à la menace.

La discipline pésroquienne se retrouva aussi dans la pratique de la religion, qui semblait aider à repousser le phénomène.

Malheureusement, si le royaume en lui-même ne s'en tira pas trop mal, le commerce qu'il pratiquait avec les autres nations, et notamment les exportations qui faisait sa richesse, fut impacté négativement. En effet, même si il était nécessaire d'avoir des bonnes armes pour se défendre, les royaumes en crise ne pouvait plus se permettre d'acheter le matériel pésroquien très couteux.

Pésroq se referma d'ailleurs d'autant plus sur lui-même vis à vis de sa politique envers les étrangers et notamment les nédourois. La tension entre le royaume et Nédour était à son paroxysme pendant la Lune Pourpre et même si le conflit n'éclata pas pendant la période du phénomène, une nouvelle guerre eu lieu une dizaine d'années plus tard.

Bien que le royaume ait aujourd'hui presque retrouvé sa forme d'antan, l'évènement traumatisant reste profondément marqué dans les mémoires et la méfiance pésroquienne reste plus élevée qu'avant.




La Culture Pésroquienne


La culture de Pésroq est assez différente des autres nations. En effet, c’est un royaume extrêmement militariste, où la force armée et l’union du peuple, ainsi que sa dévotion sont maîtres. Les pésroquiens n’apprécient pas que des étrangers viennent sur leur territoire et encore moins que des nédourois.
Cependant, ils ne rechignent pas à exporter le fruit de leur savoir-faire. Un point commun que Pésroq partage avec Nédour est l’envoi d’au moins un des enfants de chaque famille pour l’armée du seigneur local en tant que soldat.

Un pésroquien classique est quelqu’un très sobre et froid. Ce peuple, loin d’être connu pour son humour, sourit assez peu et peut être difficile à cerner. Néanmoins, avec quelques efforts, les habitants de Pésroq peuvent devenir de véritables frères et sœurs quand l'amitié est profondément ancrée. Encore une fois, le pésroquien lambda est très attaché à sa nation et serait prêt à donner sa vie pour elle et sa gloire. L’ordre et la discipline sont des notions capitales à ses yeux, à l’image de la devise du royaume. Il s’entraîne fréquemment, et notamment après chaque messe, au maniement de son arme (s’il en a une).
En terme de loisirs, le plus populaire est le béhourd, véritable simulation de combat en armes (émoussées) et armures pouvant regrouper entre 2 participants et… 2 villages. Les règles sont assez simples, les participants s’affrontent jusqu’à ce que le ou les adversaires soient tous à terre. Une fois à terre, il est interdit de se relever. Ces simulations, souvent organisées par les commandants d’armées, permettent de bien se préparer à une future guerre et d’essayer de trouver de nouvelles stratégies bien que les chevaux soient interdits. Si ce sport est spectaculaire visuellement, les blessés sont graves sont rares et encore plus les morts.
La joute équestre est aussi appréciée, véritable sport des riches et des nobles qui en profitent pour s’illustrer en société et séduire. Il existe aussi des sports moins violents mais presque autant valorisés comme la course à pied, à cheval, l’escrime et le tir à l’arc.

Epée Longue

Hallebarde

Merlin




Cuisine


Culinairement, Pésroq est une nation assez pauvre de par sa localisation géographique et le peu d’attrait des pésroquiens pour le monde culinaire. Même si la plupart consomment quotidiennement du pain de blé avec des légumes et un peu de viande de temps à autre, le royaume a quand même ses propres spécialités.
La tarte à la citrouille pésroquienne est très réputée, notamment car elle est parfumée avec des épices provenant directement d'Elquien. Le ragoût de mouton et l’omelette sont aussi très appréciés.
Pour finir, les pésroquiens sont assez friands de marrons, qu'ils apprécient grillés ou transformés en liqueur, étant presque le seul alcool consommé. Alcool qui reste d’ailleurs très rare, sachant qu’être ivre est extrêmement mal vu au sein de cette société.



Ethnie et style vestimentaire


Ces visages peu souriants abordent souvent une peau blanche allant du clair au basané et des yeux bleus ou marrons. Les chevelures pésroquiennes, qu’elles soient lisses ou ondulées, sont majoritairement situées entre le châtain et le blond. Les habitants de ce royaume favorisent largement les coupes courtes, que ce soit pour les hommes ou les femmes. Notamment en période de guerre où il est d’usage de se raser les cheveux très court.
La moyenne de taille se situe autour des 1m70 pour ce peuple relativement grand.

De part leur nature sobre, les pésroquiens portent généralement des habits d’une couleur unie et peu salissante comme du noir ou du marron. Les vêtements résistants, fait de lin ou de laine, sont favorisés. Ils ne montrent que très rarement leur richesse, il est donc souvent difficile de faire la différence entre un noble et un bourgeois moyennement aisé.



Exemple d'habitants Pésroquiens


Exemples de prénoms masculins: Henri, Baptiste, Michel, Pierre, Jean-Roch, Clément, Thaldur, Philippe, Martin, Pitel.

Exemples de prénoms féminins: Edna, Catherine, Amphie, Léonie, Clorence, Mathilde, Suzanne, Louise, Juliette, Amanda.

Exemples de prénoms neutres: Alix, Sam, Camille, Meldine, Andréa, Laurence, Claude, Estène, Adrane, Dominique.

Exemples de noms de famille: Pilier, Deroche, Corbin, Bonnet, Lapierre, Agard, Etdar, Hautar, Plitourne, Rivial.




La Cérémonie de passage à l'âge adulte


Vue comme très importante et solennelle, la cérémonie de passage à l'âge adulte pésroquienne consiste en l'organisation d'un petit tournoi annuel.

Une fois par an, toutes les villes ainsi que les villages organisent un tournoi assez simple opposant les différents jeunes ayant atteint l'âge de 9 ans. Ils sont équipés de faible protection en cuir ainsi que d'épées en bois. Ce n'est évidémment pas équitable en fonction des apprentissages de chacun mais le but est de montrer que même si on ne sait pas se battre, on est prêt à le faire pour son pays.
Gagner son tournoi de passage à l'âge adulte est une fierté pour tout pésroquien. Dans les grandes villes, des tournois de quartiers sont souvent organisés.



Le Rapport à la religion


Comme dans les autres royaumes émounes, la religion a une place traditionnellement importante. Les pésroquiens sont majoritairement de bons pratiquants.
Néanmoins, il est notable que les habitants de Pésroq peuvent être plus laxistes sur certains préceptes de la religion. Par exemple, le clergé local ne condamne pas la violence si celle-ci est utilisée à des fins "justes".


L'Environnement de Pésroq



Paysages


Bien que Pésroq contienne des paysages divers et variés, ces derniers sont assez classiques. Des grandes montagnes qui font la fierté du royaume aux étendues de plaines vertes, ce territoire abrite un environnement plutôt agréable.

La majorité du royaume pésroquien est jonché de villes et villages entourés d'immenses champs de blé, d'avoine et de seigle. Petites rivières et forêts parsèment le territoire, permettant aux habitants comme aux animaux de pouvoir facilement trouver de quoi vivre.
À l'est du pays passe la chaîne de montagnes qui borde Andellar, on y retrouve notamment le passage le moins accentué vers l'Empire Siyùnn. De nombreuses mines et forges longent les montagnes là où une bonne partie de la population vit. Les villes pésroquiennes sont presque toutes de véritables places fortes, étant parfois même de grandes forteresses réputées infranchissables. L'accès est très contrôlé et gardé en permanence par la garnison.




Faune


La faune est des plus classiques. Les animaux sauvages les plus fréquents dans la majorité du territoire sont les cerfs, les sangliers, les loups, les belettes, les lièvres, les renards, les écureuils et les chats sauvages.
Les élèvages contiennent principalement des moutons, mais aussi des vaches, des cochons et des poules. Les chevaux sont aussi très présents dans la région.

Dans les montagnes on retrouve plus de chèvres et de boucs. Le ciel est occupé par toutes sortes de rapaces.



La Société Pésroquienne


Le Roi

Depuis le règne d’Edouard, son pouvoir est très centralisé et ne connaît en pratique aucune limite. Le roi possède d’immenses propriétés terriennes dont le duché de Pied-de-roche.



La noblesse

Celle-ci est divisée en deux catégories bien restreintes et dont il n'est pas possible de sortir pour la seconde.
La première est la noblesse titrée composée des ducs, comtes, marquis et barons. Ils possèdent des terres plus ou moins larges et dédient leur vie à l'administration de celles-ci ainsi qu'à la politique du royaume. Ils peuvent également prendre part à des guerres ou des incursions.
La deuxième est la noblesse non-titrée, elle désigne les Pevilliers, la garde pesonnelle et rapprochée du roi. Ils sont répartis dans deux catégories, les chevaliers et leurs apprentis, les écuyers. Ils dédient leurs vies uniquement au combat et s’entraînent jours et nuits afin d’être toujours meilleurs. Les Pevilliers se marient et forment des familles entre eux uniquement. Ils touchent une pension fixe et résident dans les propriétés du roi. Le roi peut anoblir des roturiers pour qu’ils deviennent des écuyers si il souhaite augmenter le nombre de ses forces ou si les pertes ont été trop importantes suite à une campagne.



Le clergé

Le clergé pésroquien n’est pas vraiment différent de celui des autres royaumes émounes mis à part qu’il est quasiment exclusivement composé de Pésroquiens de souche, ce qui modifie parfois les préceptes de la religion Emoune, en ne punissant pas l’usage de la violence pour des causes justes par exemple.



Les bourgeois

Les bourgeois sont tous les habitants libres des villes qui sont d’origine pésroquienne. Ils ne bénéficient pas de droits particuliers ni de contraintes particulières. Ce sont essentiellement des artisans, des commerçants et des intellectuels. Leur richesse varie mais ils sont pour la plupart assez pauvres bien que certains fassent fortune grâce à leurs capacités.



Les serfs

Les serfs sont tous les roturiers ne bénéficiant pas de leur propre liberté. Ils sont en effet soumis à leur seigneur et doivent lui payer le cens, lui donner une partie de leur récolte et parfois travailler gratuitement. En échange, le seigneur leur doit protection, logement et travail. Ils doivent obtenir l’aval de leur seigneur pour se marier ou pour sortir de son territoire. Les biens d'un serf reviennent à son seigneur à sa mort même s'il est habituel que ce dernier les transmette à la descendance du serf décédé.



Les étrangers

Sont les étrangers tous ceux qui ne sont pas pésroquiens de souche et qui ne sont pas nédourois. Ils ne disposent d’aucun droit et leur présence n’est pas tolérée à part s’ils obtiennent un laissez-passer ou une autorisation de séjour pouvant être accompagnés d’une autorisation de travailler. Les pésroquiens les voient d'un mauvais oeil et il est mal vu de devenir ami avec un étranger. Ces derniers vivent pour l'immense majorité dans les quartiers mal famés des bourgs.



Les nédourois

Les nédourois sont extrêmement mal vus par les pésroquiens du fait de leur passé commun. Ainsi, le peu de nédourois étant restés à Pésroq sont parqués dans des quartiers de bourgs surveillés constamment par des gardes et entourés de murs mais dont ils ont le droit de rentrer et sortir durant la journée. Le soir, ils doivent impérativement être dans leur quartier sous peine d’amende. Pour être distingués de la population, ils doivent obligatoirement porter autour de la taille un tissu orange. Ils occupent presque toujours les tâches les plus ingrates et dangereuses. Un pésroquien vu comme amical avec un nédourois sera rejeté socialement par ses pairs.






L'Armée


Tout comme dans la plupart des pays d'Andellar, la sécurité est gérée localement par des miliciens dans les villages et par des gardes dans les villes. Ils sont employés par le régent de la localité et sont sous son autorité.

Pésroq et avec Treffisal une des rares nations à entretenir une armée nationale permanente. Cette armée royale a pour commandant suprême le roi et les officiers sont des membres de sa cour ou des chevaliers expérimentés.
L'Armée Royale Pésroquienne est l'une des armées les plus uniformes qu'il puisse exister. En effet, mis à part certains chevaliers et écuyers, les hommes et femmes de l'Armée Royale sont tous équipés de la même manière. Cela est dû au travail à la chaîne des forgerons et menuisiers spécialisés et engagés par le roi personnellement pour fabriquer en masse et en relativement peu de temps les équipements. Les armures entreposées dans des armureries et sont données aux recrues une fois leurs classes terminées ainsi qu’aux conscripts lorsqu’une guerre est déclarée. Il y a la plupart du temps une tolérance de différence de taille entre l’armure et l’homme allant jusqu’à 5 centimètres, rendant l’armure assez peu confortable si l’homme équipé et un poil trop petit.

Pésroq compte énormément sur ses fantassins lourds et sa chevalerie de choc, très bien équipée et inspirant la peur chez les ennemis. Auparavant, cette chevalerie chargeait la plupart du temps tête baissée en plein dans les lignes ennemies. Mais suite à de nombreuses défaites causées par des archers nédourois, elle tend tend non seulement à être moins nombreuse mais aussi à être utilisée à des fins d'attaque de flanc ou de poursuite, les chevaliers voulant charger de front ayant mis pied à terre afin d'éviter que leurs cheveux ne soient tués par des volées de flèches.
La section d'élite de la chevalerie pésroquienne au service du roi est nommée les Hussards ailés. Ce sont en fait des chevaliers lourdement équipés de façon classique mis à part qu'ils se distinguent par leurs heaumes surmontées de plumes blanches, les rendant facilement reconnaissables lors de batailles.
L’infanterie lourde et la cavalerie incluant la chevalerie de choc représentent en général la majeure partie d’une armée pésroquienne, le reste étant des archers et des fantassins plus légers.

Le roi a le droit d'appeler un Ost pour participer aux guerres les plus importantes. Enfin, Pésroq n'emploie quasiment jamais de mercenaires, ne faisant pas confiance à des hommes se battant pour l'argent plutôt que pour leur nation.



L'Economie


L'économie de Pésroq est peu diversifiée. La majorité de sa richesse provient de l'exportation d'armes, armures et outils d'excellente qualité que les puissants d'autres pays s'arrachent à des prix élevés, faisant la fortune de certains forgerons réputés. Ceux-ci ont tous leurs forges à côté d'immenses complexes miners fournissant les matières premières leur permettant de travailler. Les forges et les mines forment de véritables fourmilières où le travail à la chaîne est de mise pour répondre aux besoins du royaume et des clients étrangers. Le pays compte aussi sur ses nombreuses carrières et ses tailleurs de pierre, ces derniers étant notamment compétents dans le travail du marbre s'exportant très bien dans tout le continent.

Toutefois, les pésroquiens sont souvent plus pauvres que les habitants des autres nations. Ils ne s'en soucient guère la plupart du temps du fait de leur mode de vie simple. Paradoxalement, la criminalité est extrêmement faible grâce à la forte union entre les pésroquiens qui ne rechignent pas à s'aider mutuellement. Il n’en est par contre pas du tout de même pour les étrangers et encore moins les nédourois qui sont parqués dans de véritables ghettos surveillés en permanence par la garnison. Les étrangers survivent comme ils le peuvent en faisant les tâches les plus ingrates et/ou dangereuses.

La monnaie de Pésroq est le Marcil, une pièce de fer simple avec le visage du régent frappée dessus acompagnée de la phrase "Un peuple, un royaume" sur la face et au verso la devise du royaume, "Ordre et Discipline". Cette seule pièce constitue tous les échanges à Pésroq, ce qui est un véritable casse-tête lors de l'achat de biens ayant une forte valeur, étant donné qu'il est très complexe de transporters des coffres entiers de pièces.




La Santé


La santé n’est pas un problème pour la plupart des pésroquiens qui peuvent obtenir soins et remèdes sans trop de soucis à part dans les régions les plus reculées.

La majorité des habitants de l'est du pays sont habitués à vivre dans un terrain souvet escarpés, ils sont donc assez endurants pour ce qui de marcher et d'escalader.