Fédération de Myrilis




Un royaume pieux et chaste


Fortement guidée par la religion, cette nation excelle dans la sobriété. Malgré les conflits passés, c'est aujourd'hui la plus grande alliée d'Aldatia.




Hymne: :Gloire à Myrilis !
Devise: "Que Parédor unisse Myrilis"





Résumé


Reconnue comme étant l’une des trois nations émounes les plus pieuses du continent, Myrilis est toujours restée assez distante. Le courant éclairiste y est maintenant largement répandu.

Cette nation a longtemps été en conflit avec Aldatia et Tannuviel, cependant les relations se sont améliorées avec la première au fil des années. Les deux royaumes sont même aujourd’hui alliés dans le but de contrer la puissance tannuvelienne.

Ces terres verdoyantes et agréables, contenant peu de reliefs, sont le berceau d’une culture très chaste et stricte, appréciative de la musique et des arts.







L'Histoire de Myrilis


Autrefois, Myrilis était un territoire morcelé, composé de duchés et de principautés indépendantes qui se faisaient la guerre de manière continuelle. Cette situation d'anarchie totale avait plongé ces terres dans le chaos et l'instabilité.

L'unification de Myrilis a commencé à prendre forme avec l'arrivée massive de l'émouna, une doctrine religieuse imposée aux populations par Tannuviel et Aldatia. Ces deux nations avaient dominé le territoire de Myrilis pendant environ deux cents années afin de mettre fin à l'anarchie ambiante et d'imposer les enseignements émounes dans cette région considérée comme hérétique.

L'émouna est une doctrine religieuse qui prône la foi en une divinité unique et l'adhésion à des principes moraux et spirituels stricts. Elle enseigne également l'importance de l'unité et de la coopération entre les nations émounes. Ainsi, son introduction à Myrilis a joué un rôle essentiel dans l'unification du territoire et l'établissement d'une stabilité politique.

Sous l'influence de l'émouna, Myrilis a peu à peu mis fin à ses guerres internes et a commencé à se rassembler en une entité plus cohérente. Les principautés et les duchés ont progressivement accepté de se soumettre à une autorité centrale, cherchant à instaurer l'harmonie et l'ordre dans la région.

La religion a également joué un rôle crucial dans l'adoption de valeurs communes et l'émergence d'une identité nationale pour Myrilis. Les enseignements du Pape Charles Europe IV, figure majeure de l'émouna, ont servi de guide spirituel et moral pour ce pays en développement.

Au fil du temps, l'émouna est devenue profondément enracinée dans la société de Myrilis, façonnant sa culture, ses institutions et ses valeurs. Aujourd'hui, Myrilis est considérée comme la troisième nation la plus respectueuse des enseignements émounes, témoignant de l'importance de cette doctrine religieuse dans son histoire et son identité.

L'alliance étroite entre Myrilis et Aldatia s'est développée au fur et à mesure que leurs relations s'amélioraient. Cette alliance stratégique vise principalement à faire face à Tannuviel, qui est perçue comme une menace commune par les deux nations. En unissant leurs forces, Myrilis et Aldatia cherchent à établir une balance de pouvoir pour préserver leur indépendance et protéger leurs intérêts communs face à Tannuviel.

Ainsi, l'unification de Myrilis grâce à l'émouna et l'alliance avec Aldatia ont joué un rôle essentiel dans la transformation du royaume, passant d'un territoire fragmenté et en proie à l'anarchie à une nation plus stable.

Myrilis a toujours été considérée comme la plus distante des trois nations pronfondément pieuses. Au fil des siècles, elle a été en guerre avec Aldatia et en forte opposition avec la politique de Tannuviel. L'une des périodes les plus marquantes de cette rivalité remonte au 4 Céfône 3858, pendant les guerres Emounataronophyritibalanistiriques.

À cette époque, Myrilis cherchait à étendre ses terres cultivables vers le Sud et a envahi le duché aldatien de Venetia-Giulia. Cette agression a conduit à une coalition entre Aldatia et Tannuviel, qui se sont unies contre Myrilis. La coalition a infligé une défaite écrasante à Myrilis, mettant ainsi un terme à son expansion territoriale et renforçant la supériorité de Tannuviel.

Après cette guerre, les relations entre les trois nations sont devenues assez compliquées, mais elles se sont tout de même pacifiées. Myrilis, en raison de sa défaite et de l'écrasante puissance de Tannuviel, n'était plus en mesure de s'opposer directement à cette nation. Cependant, malgré une certaine détente, les tensions et les différents persistaient entre Myrilis et les deux autres puissances émounes.

Le marquisat de Rotunberg, situé au sein de Myrilis, a été l'une des régions les plus durement touchées par les guerres et les conflits tout au long de l'histoire connue. Cette région frontalière a été le théâtre de nombreux affrontements entre Myrilis, Aldatia et Tannuviel. Les batailles sanglantes et les ravages de la guerre ont laissé des cicatrices profondes sur ce territoire et ses habitants.

Malgré ces conflits passés, il est important de noter que les relations entre les trois royaumes ont évolué au fil du temps. Des périodes de paix relative, de coopération et d'échanges diplomatiques ont également existé entre eux. Cependant, l'histoire tumultueuse entre Myrilis, Aldatia et Tannuviel a forgé une dynamique complexe et souvent tendue.



L'Impact de la Lune Pourpre


Les conséquences de la Lune Pourpre sur Myrilis furent, comme pour le reste d'Andellar, dévastatrices. Durant cette quinzaine d’années la population myrilisienne a diminué de moitié et de très nombreuses villes ont été ravagées, en plus des campagnes. Pendant le phénomène, et devant l’abandon total de la nation par Tannuviel, une entraide mutuelle avec Aldatia s'est créée, et comme sa consœur, elle va voir un très grand développement de L'Eclairisme au sein de son territoire. Fruit du hasard ou preuve divine, plus la population adoptait la foi éclairiste, plus le mal reculait.

Après la fin de la Lune Poupre, l’entraide entre les deux nations s’est amplifiée et chacune a apporté à l’autre ce qui lui manquait. La solidarité entre les deux nations s'est donc solidifiée. Cela aboutit à la création de la Ligue du Bien Public et des accords du Lac de Crystal avec Tannuviel. Mais contrairement à sa consœur, Myrilis n’a pas connu de changement drastique dans sa politique et la Fédération resta un état assez décentralisé.

Les zones annexées par Tannuviel connurent une immense vague d’immigration, vers les territoires aldatiens ou myrilisiens. La flotte et les armées du royaume ont aidé à contrer la Révolution Treffisienne. Aujourd’hui les deux nations alliées n’ayant plus de frontière commune ont vu un important développement de leur trafic maritime. Bien que les territoires annexés par Tannuviel soient libre de passage pour Aldatia et Myrilis, sauf militaire, où l’accord de Tannuviel est nécessaire.




La Culture myrilisienne


La culture myrilisienne est influencée par la religion émoune, tout comme Aldatia et Tannuviel. Cependant, le respect du calendrier religieux est moins important à Myrilis par rapport aux deux autres nations.

Les habitants portent des vêtements qui dissimulent le corps, à l'exception de la tête. La sexualité est rarement évoquée et est liée uniquement au mariage et à la reproduction. La chasteté est valorisée.

L'argent est considéré comme un sujet tabou à Myrilis. Il est préférable de l'utiliser pour les besoins essentiels plutôt que pour des biens futiles. L'argent ne doit être gagné que de manière honorable, et les dons à l'Église sont fortement encouragés. Se vanter de sa richesse est mal vu, et la charité est valorisée.

Les loisirs sont limités à Myrilis. Le jeu de Paume (ancêtre du Tennis) est populaire, tout comme la soule (provenant de Tannuviel). La chasse et les échecs sont des activités appréciées par la noblesse. La violence nobiliaire s'exprime à travers la joute, encouragée par le pouvoir royal comme moyen de canaliser les tensions entre aristocrates. Les jeux intellectuels, comme les échecs, proviennent principalement de Tannuviel. Les jeux d'argent et de hasard sont strictement interdits à tous les niveaux de la société.

Ils accordent une grande valeur à la poésie et à la littérature orale. Les récits épiques et les légendes occupent une place importante dans leur culture, transmis de génération en génération.

La musique et la danse occupent une place centrale dans la vie des myrilisiens. Ils apprécient les instruments traditionnels tels que les cornemuses, les flûtes et les tambours. La danse folklorique, caractérisée par des mouvements énergiques et synchronisés, est un élément essentiel de leurs célébrations et de leurs rassemblements sociaux.

L'artisanat est une aussi une compétence valorisée. Ils sont réputés pour leur savoir-faire dans la fabrication d'objets en bois sculpté, de tissus tissés, de bijoux en métal et de poteries. Ces métiers traditionnels sont également transmis de génération en génération et jouent un rôle essentiel dans l'économie locale.

Les myrilisiens célèbrent plusieurs festivités et fêtes religieuses tout au long de l'année. Ils accordent une grande importance à ces occasions spéciales, où les rituels religieux, les processions, les danses et les banquets sont organisés pour célébrer et honorer leurs croyances.
La société de Myrilis est fortement ancrée dans la communauté et la famille. La solidarité et l'entraide sont des valeurs importantes, et ils accordent une grande importance au respect des anciens et des traditions. La vie quotidienne est rythmée par des normes sociales strictes, avec des codes de conduite qui soulignent l'honneur, la loyauté et la responsabilité envers la communauté.

Cuisine


La cuisine de Myrilis est assez simpliste et se contente en général de plats de subsistance, la soupe et le pain sont très courants alors que la viande est plus rare, même au sein de la noblesse.

Les myrilisiens, en dehors de la bière, sont très peu consommateurs d’alcool, chaque région ayant ses bières spécifiques.




Ethnie et style vestimentaire


Les myrilisiens ont généralement une apparence nordique, avec une peau claire, souvent pâle, en raison de l'influence des climats froids de la région. Leurs cheveux sont majoritairement blonds ou châtain clair, bien que des variations de teintes plus foncées soient présentes. Les yeux bleus sont courants parmi eux, bien que d'autres couleurs d'yeux puissent également être observées.

Au niveau de la taille, les myrilisiens tendent à être plutôt grands, avec une stature robuste et une constitution physique solide (En moyenne 1m70). Leur style vestimentaire traditionnel est adapté aux conditions climatiques de la région, avec des vêtements chauds et fonctionnels tels que des manteaux en laine, des capuches et des bottes résistantes.

Les habitants de cette nation portent aussi généralement des chemises en tissu de lin ou de laine, des pantalons amples en laine ou en lin, des bottes robustes en cuir et divers accessoires tels que des ceintures, des capes et des chapeaux en laine. Les styles vestimentaires peuvent varier selon les sous-cultures et les évolutions historiques, et peuvent également être influencés par d'autres peuples voisins. Encore une fois, il est vraiment mal vu de montrer sa peau et les habits myrilisiens sont très couvrants.



Exemple d'habitants myrilisiens


Exemples de prénoms masculins: Friedrich, Wolfgang, Klaus, Hans, Dieter, Gunther, Heinrich, Jürgen, Karl, Ludwig.

Exemples de prénoms féminins: Greta, Ingrid, Liesl, Heidi, Helga, Gertrude, Anneliese, Ursula, Brigitte, Hilde.

Exemples de prénoms neutres: Edwige, Alois, Landry, Jasmin, Clotaire, Alix, Quirin, Orel, Daris, Karsten.

Exemples de noms de famille: Müller, Schmidt, Wagner, Becker, Schneider, Schulz, Hoffmann, Weber, Fischer, Keller.




La Cérémonie de passage à l'âge adulte


Le passage à l’âge adulte à Myrilis se fait de façon assez classique. Il se tient tous les 7 jours du mois, une messe précise. La “Messe Adultère”, celle-ci se constitue en une matinée de prières pour les jeunes adultes atteignant leur 9ème année dans la semaine à venir. Le prêtre et ces derniers, souvent accompagnés de leur famille, prient pour remercier le Seigneur d’avoir permis à ces jeunes d’atteindre leur majorité et que la bonne fortune soit avec eux durant toute leur vie, dans le respect des enseignements émounes. A la fin de la cérémonie ils reçoivent un petit sceau personnel qui leur permettra tout au long de leur vie de marquer des documents et participer à différentes fêtes religieuses.



Le Rapport à la religion


Les myrilisiens, bien qu'ils soient en majorité de confession éclairiste, ont également des communautés émounes significatives au sein de leur société. Cependant, malheureusement, ils peuvent parfois manifester de l'intolérance envers les autres croyances qui diffèrent de L'Eclairisme.

Cependant, malgré cette intolérance, il est important de noter que les myrilisiens ont développé une certaine tolérance religieuse envers les différentes branches de l'émouna. Les myrilisiens ont accepté la présence de ces différentes communautés émounes et leur permettent de pratiquer leur foi relativement librement.

Cela peut s'expliquer par des facteurs historiques, culturels et politiques. Il est possible qu'au fil du temps, les myrilisiens aient compris l'importance de la coexistence pacifique entre les différentes croyances présentes dans leur société, ce qui a conduit à une certaine ouverture envers les communautés émounes.

Il convient de souligner que malgré cette tolérance envers l'émouna, les myrilisiens peuvent toujours manifester de l'intolérance envers d'autres religions ou croyances qui ne sont pas reconnues ou acceptées par la société dominante. Cela est dû à des préjugés historiques, à des stéréotypes ou à une méconnaissance des autres traditions religieuses.


L'Environnement de Myrilis



Paysages


Myrilis possède un beau paysage composé de grandes plaines verdoyantes, avec beaucoup de petites collines. À son nord se trouve une plaine enneigée avec une large forêt qui la sépare de Nifada. On peut facilement apercevoir les montagnes de son voisin nordique depuis les terres majoritairement plates du pays.
Au sud on peut voir le Mont Cristal où se trouve à son pied Tannuviel. On y retrouve également un des nombreux lacs de la nation. Bien qu'assez frais, les paysages de Myrilis sont charmants et agréables.
Contrairement à son nord qui est glacial, le sud du royaume arbore de nombreuses plantes. De jolies fleurs y poussent au printemps. C'est là que l'agriculture est pratiquée, notamment celle du houblon, essentiel à la fabrication des bières myrilisiennes.


Faune


La faune myrilisienne est majoritairement composée d'animaux de petite taille, allant de minuscules rongeurs à des coyotes et chiens de prairie qui chassent en meute. Les loups et les ours y sont rares mais on trouve tout de même un bon nombre de cerfs. Les élevages restent classiques, les chevaux du royaume sont appréciés et exportés dans le nord d'Andellar pour leur bonne résistance au froid.



La Société myrilisienne


Myrilis est une nation décentralisée, composée de principautés autonomes les unes des autres, mais unie autour d’un roi. Le roi est élu au sein d’une même dynastie, celle des Dedreux, par le Conseil Fédéral des principautés européennes de Myrilis, ce conseil est composé des princes des différentes gens dirigeant les principautés du pays. Après élection du roi, ce conseil sert aussi de gouvernement, un peu comme le conseil du roi à Aldatia.

Le Roi

Désigné par le conseil fédéral, il fait forcément partie de la famille du précédent roi. Il est garant de la sécurité du royaume, que celle-ci soit sociale, économique ou militaire. Il se doit d’être un fervent religieux et un exemple pour tous. Son pouvoir est en théorie illimité mais il sait très bien qu’il ne peut pas en abuser, de peur de se voir renier par le pape ou par ses vassaux nobles, bien plus puissants que lui lorsqu’ils sont réunis. Et sachant qu’il peut se voir déposer par ce même conseil.



La noblesse

Elle représente tous les individus ayant le statut légal de noble, grâce à l’obtention d’un titre de noblesse donné par le roi. Ce statut est héréditaire. Les familles nobles sont les plus puissantes du royaume, elles possèdent des terres importantes. Elles ne paient pas d’impôt en temps normal et entretiennent leur propre armée qui peut être demandée par le roi. Les familles nobles peuvent toucher une pension du roi s’ils n’ont pas de terre.

Ils constituent l’élite de la société et ne travaillent pas à proprement parler. Ils sont gérants de leurs terres, hauts fonctionnaires, militaires ou plus rarement, scientifiques. En cas de crime grave, une famille noble peut être frappée de dérogeance, perdant ainsi son statut, son titre, ses terres. Les nobles ont leur propre hiérarchie qui se compose de haut en bas, des ducs, des comtes, des barons, des chevaliers et des écuyers.



Le clergé

C’est une classe à part dans la société. Ses membres sont tous respectés par la société, même par la noblesse. Ce sont des moines, des prêtres, etc. Ils font la liaison entre Dieu et le peuple. Le clergé est réuni en général sous l’appellation de “l’Église”. Cette société possède de nombreux territoires et biens et est souvent très riche. Leur chef suprême est le Pape puis les cardinaux. En règle générale, les statuts les plus élevés sont réservés aux nobles ayant rejoint le clergé.



La bourgeoisie

Cette classe sociale regroupe tous les roturiers (non nobles ou membres du clergé) qui ne sont pas serfs. Ils vivent en ville, d’où leur nom. Leur fortune est très variable, certains étant extrêmement riches et d’autres très pauvres. Ils paient un impôt mensuel. Ils n’ont pas de droit particulier mais sont en général assez libres. Il arrive très rarement que certains soient anoblis, grâce à des actions militaires héroïques ou car ils ont été au service du roi pendant 20 ans comme conseillers.



Les serfs

Ce statut désigne tous les roturiers n’ayant pas leur propre liberté. Ils appartiennent légalement à leur seigneur et lui paient un impôt. En contrepartie, celui-ci doit les loger, les faire travailler et maintenir des conditions de vie décentes. Les serfs n’ont pas le droit de quitter les terres de leur seigneur sans permission ou de se marier sans l’en informer. À leur mort, tout ce qui leur appartenait revient à leur seigneur mais la grande majorité du temps, celui-ci laisse tout aux descendants du serf.



Les vilains

Les vilains sont les paysans qui ne sont pas serfs. Ils sont ainsi plus libres que les serfs. Il arrive qu’ils possèdent leurs propres terres cultivables. Leur richesse est pour la plupart inexistante.






L'Armée


l’Armée de Myrilis est divisée. Chaque seigneurie possède sa propre armée, qu’elle compose très souvent à sa façon. Par exemple, le Marquis de Rotunberg exige qu’un centième des sujets du marquisat soit dans l’armée. Quand on manque de volontaires, cela se fait par tirage au sort de façon censitaire. Le Domaine royal lui est concentré sur l’Ost des vassaux directs du roi. Seul le roi peut convoquer “l’Armée de la Fédération” quand les intérêts du Royaume sont menacés.



L'Economie


l'Économie de Myrilis est principalement tournée vers l’intérieur. Les régions ont très souvent une production minimale de tout pour garantir une certaine autonomie entre elles. Cependant avec le temps cette autonomie s'est réduite et le réseau de route construits par les différents rois durant le XXXème millénaire a permis une énorme intensification du marché intérieur et avec les territoires des régions voisines. Le sud-est du royaume est le principal producteur de bois et de produits de la chasse du royaume.

Bien qu’il y existe quelques mines de fer et de cuivre dans la zone montagneuse de la Principauté de Cristolum. Le Comté de Prussof et le Duché de Visturg eux se concentrent principalement sur la production céréalière. Prussof a cela ajoute la pêche et voit la plus forte production de spiritueux et d’élevages du royaume. Le domaine royal, enclavé, vit principalement de l’agriculture, du commerce avec Ligômyst et de l’exploitation des ressources du fleuve Ténoudah. Le Marquis de Rotenburg est la principale place de passage des ressources en provenance d’Aldatia et de Tannuviel, très souvent des produits de luxe et exotiques que s'arrachent les élites du royaume.



La Santé


Dans le domaine de la santé, Myrilis est un peu en arrière d’autres nations. En effet, bien que la santé soit un sujet important pour les populations (avec des variances selon les classes), l’hygiène des myrilisiens peut parfois laisser à désirer. Ce qui fait que les maladies se répandent vite dans des villes qui sont parfois assez mal entretenues. Les établissements hospitaliers sont quant à eux peu présents, sauf dans le Domaine royal.